La Chaire Intelligence économique, juridique et collective

La Chaire Intelligence économique, juridique et collective (IEJC), pour quoi faire ? Dans les faits, l’existence d’une chaire répond à un triple objectif. D’abord, celui de développer un programme de recherche ambitieux. Mais aussi, celui de créer des enseignements ou des formations dans un domaine spécifique. Et enfin, celui de favoriser les échanges et les synergies. En résumé, la chaire permet, par le biais de modules de formation plus ou moins nombreux, de sensibiliser et de former les étudiants. Donc, la chaire est un outil pour donner de la visibilité à l’entreprise. Elle favorise des candidatures parmi les apprenants.

Clairement, la Chaire Intelligence économique, juridique et collective est un réseau de recherche intersectoriel.  Pour ce dernier, il favorise le croisement des savoirs nécessaires à l’étude des phénomènes dynamiques et complexes que représente l’hybridation des trois disciplines. D’une part, celles-ci composent cette nouvelle matière, porteuse de nouvelles connaissances et compétences professionnelles. En parallèle, la Chaire visent, de par les nouvelles connexions et interactions à l’œuvre, à identifier les leviers pour faire évoluer les composantes de ce  triptyque.  De plus, elle procède de la même manière avec ce qui naît de cette hybridation (apports nouveaux identifiés).

Chaire intelligence économique : Objectifs

En premier lieu, l’objectif de cette Chaire est de favoriser le développement et le rayonnement de la recherche sur l’IEJC. Ensuite, elle s’inscrit dans la tradition de recherche collaborative. En effet, les défis à relever sont majeurs afin de bâtir une évolution des pratiques du socle de départ que représente l’IE.

Plus précisément, les objectifs de la Chaire comprennent :

• • La mise en place d’une infrastructure de recherche souple, propice aux partenariats avec la communauté. Mais aussi propice aux projets intersectoriels, et interfacultaires.
  • Mais aussi favoriser le dialogue et le croisement des connaissances et des concepts entre divers univers disciplinaires et d’études sur l’IEJC.
  • Ou encore, Initier des projets de recherche interdisciplinaires pertinents et novateurs.
  • Et enfin, organiser des activités de diffusion des connaissances : académiques, professionnels, institutionnels, communautaires et politiques.